| Mon O.S. sur TY | |
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Auteur | Message |
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Tytia (Tyty) Assisstante des premières dames du Falif (APDF)
Messages : 1519 Date d'inscription : 26/02/2010 Age : 45
| Sujet: Mon O.S. sur TY Jeu 4 Mar - 11:30 | |
| Rappel du premier message :
La scène se déroule au moment où Ty arrive à Heartland S02E01
******************************* Jack gara sa camionette devant la maison. Je restai encore quelques secondes dans la voiture à regarder Amy qui discutait avec un mec que je ne connaissais pas. Sûrement le nouveau palefrenier., celui dont m'avait parlé le vieil homme qui était venu me chercher à Calgary...Mon remplaçant. Une question me tortura l'esprit l'espace d'une seconde : m'avait-il seulement remplacé au ranch ou bien l'avait-il également fait dans le coeur d'Amy ? Je chassai cette pensée aussi vite que je le pus de mon esprit avant de quitter l'habitacle de ma voiture en attrapant mes affaires au vol. Dès que je fus hors de la voiture, Mallory se rua à mon encontre et se jeta dans mes bras. Un léger sourire illumina mon visage jusqu'à l'instant où elle me donna un coup dans l'épaule, en me demandant pour quelles raisons, je n'avais jamais appelé. Je ne lui répondis pas, trop occupée à regarder la fille de mes rêves qui se trouvaient à présent à quelques pas de moi. J'attendais avec angoisse mais aussi impatience sa réaction. Je rêvais déjà qu'elle me saute dans les bras comme venait de le faire Mallory. Amy resta un instant à m'observer, son visage neutre, ne laissant transparaître aucune émotion si ce n'est peut-être du dépit. Lorsqu'elle secoua légèrement la tête, je compris qu'elle ne me pardonnerait pas d'être parti ainsi. J'avais tant espéré qu'elle comprenne. Quel fou avais-je été de le croire ! Mon coeur se serra douloureusement. Durant tous ces longs mois que j'avais passé à Calgary, je n'avais pas cessé de penser à elle, à ses lèvres si douces que j'avais goûté juste avant mon départ, me demandant si un jour je pourrais à nouveau m'abreuver de leur nectar. Blessé, je la regardai retourner dans la maison sans dire un mot. Je restai quelques secondes sans bouger, laissant le nouveau palefrenier passer près de moi et me dévisager sans réagir. J'étais à cent mille lieues de là, seul dans la tourmente de mon chagrin. Pour quelles raisons étais-je parti ? Pour quelles raisons avais-je cru que mon père m'attendrait à Calgary comme il me l'avait promis sur la lettre qu'il m'avait envoyé ? Je n'aurais jamais dû partir. Jamais.
Dernière édition par Tyty le Jeu 4 Mar - 13:05, édité 1 fois | |
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